BUCHE A LA MOUSSE DE CHOCOLAT BLANC ET GRIOTTES
Pour le biscuit : 4 œufs, 90 g de sucre, 50 g de farine, 50 g de maïzena, une pincée de levure chimique
Pour la mousse : 250g de chocolat blanc, 400g de crème fleurette, 1 feuille de gélatine
Pour garnir et imbiber : 1 bocal de griottes, 75 ml de sirop de griottes, 2 c. à s. de kirsch
Faire ramollir la feuille de gélatine dans l’eau froide. Faire fondre le chocolat au bain marie ou aux micro-ondes. Faire chauffer 5 cl de crème liquide et ajouter hors du feu la feuille de gélatine bien égouttée en mélangeant, puis verser sur le chocolat fondu. Mélanger et laisser tiédir.
Battre la crème liquide en chantilly et l’incorporer au chocolat blanc. Réserver la mousse au frigo 30 minutes.
Battre les œufs avec le sucre. Le mélange doit tripler de volume et épaissir. Incorporer en 3 fois la farine et la maïzena tamisée avec la pincée de levure en mélangeant délicatement.
Etaler la préparation sur une tôle couverte de papier sulfurisé. Cuire 8 à 10 minutes à four préchauffé à 180°. Laisser refroidir le biscuit sur la plaque en couvrant d’un torchon légèrement humide afin qu’il reste souple et moelleux.
Après refroidissement, ôter le torchon, retourner le biscuit sur une feuille de papier sulfurisé et retirer le papier cuisson délicatement. Retourner de nouveau le biscuit sur une autre feuille de papier sulfurisé pour qu’il soit à l’endroit.
Placer le biscuit dans le sens de la longueur. A l’aide d’un pinceau, imbiber le biscuit avec le mélange sirop de griottes et kirsch. Etaler une partie de mousse sur le biscuit. Répartir un peu de griottes sur la mousse (sauf sur les 8 cm à l’extrémité). Au deux tiers de biscuit, mettre une grosse partie des griottes. Rouler le biscuit en s’aidant du papier sulfurisé. L’emballer dans le papier sulfurisé puis dans du papier allu et l’entreposer au frigo 30 minutes.
Sortir la bûche, l’enduire entièrement de mousse du chocolat. Décorer de quelques griottes et de petits sujets en chocolat ou autres.
On peut remplacer les griottes par 250 g de framboises fraîches de préférences car les surgelées n’ont pas de tenu et sont caoutchouteuses.